Trois questions à Gérald Vazinsky - interprété par Christian Dalimier
Oui. Les affaires, j'en fait mon affaire. On a ça dans le sang. C'est comme une seconde peau. Si tu aimes les affaires, tu aimes jouer au casino. C'est dans la même lignée. Et bien que je le dise moi-même, j'ai souvent gagné et rarement perdu. C'est comme cela. Il y a des gens qui ont la gagne et d'autres pas.
Superstitieux, un homme comme vous ! C'est une blague, non ?
Non, je ne suis aucunement superstitieux. Quand je vois une vache brouter dans un pré, c' est une vache qui broute dans un pré et rien de plus. Pas envie de perdre mon temps avec toutes ces balivernes. Les comptes en banque n'aiment pas cela, les balivernes Les comptes en banque, c’est un euro plus un euro et puis basta.
Avoir des plans, de l'ambition, les hommes savent pourquoi ?
L'ambition, j'ai envie de dire que c'est la moindre des choses. L'inaction nous pousse à l'oisiveté et il n' y a rien de plus dangereux que cela.
Je me suis fait tout seul. Je n'ai jamais rien demandé à personne et j'ai toujours hissé l'honnêteté comme un porte-drapeau.
Le porte-drapeau de mon existence, oui, c' est un véritable aveu que je vous livre danss cet interview, c’est l'honnêteté pure. Je vous laisse. J 'ai à faire. N' hésitez pas à demander un verre de champagne .Ma collaboratrice se fera un plaisir de vous l'offrir.
Lien vers le CV de Christian Dalimier